Hugo
Martin Scorsese, USA, 2011o
Dans le Paris des années 30, le jeune Hugo est un orphelin de douze ans qui vit dans une gare. Son passé est un mystère et son destin une énigme. De son père, il ne lui reste qu’un étrange automate dont il cherche la clé - en forme de cœur - qui pourrait le faire fonctionner. En rencontrant Isabelle, il a peut-être trouvé la clé, mais ce n’est que le début de l’aventure.
Hugo Cabret est le plus beau conte de Noël qui ait été donné à voir depuis La vie est belle (1946), de Frank Capra.
Isabelle RegnierHugo Cabret fait le lien entre cinéma d'hier et d'aujourd'hui. Scorsese nous parle de l'émerveillement inventé et réinventé par le cinéma. Il nous assure que, de Méliès à la 3D, la magie ne s'est pas perdue. Et on n'a qu'une envie : lui dire merci.
Frédéric StraussHugo Cabret est un film accessible à tout âge, riche de multiples thèmes évoqués. Il offre à Martin Scorsese l'occasion d'un formidable hommage au cinéma.
Arnaud SchwartzIn attempting to make his first film for all ages, Martin Scorsese has fashioned one for the ages. Simultaneously classical and modern, populist but also unapologetically personal, “Hugo” flagrantly defies the mind-numbing quality of most contempo kidpics and instead rewards patience, intellectual curiosity and a budding interest in cinema itself.
Peter DebrugeAlles wäre nur eine Übung in goldener mechanischer Handwerkskunst, wenn in dieser Wunderwelt nicht auch wirklich geträumt würde. Traum und Mechanik, und wie sie im Handwerk zusammenkommen - das ist das Thema des Films.
Tobias KniebeEine visuell atemberaubende Hommage an die Magie des Kinos, die mittels Setdesign und Kameraarbeit eine ebenso beziehungsreiche wie bezaubernde Bildwelt eröffnet. Aus dem Facettenreichtum und der Materialfülle der Buchvorlage entsteht eine mitunter etwas "gedrängte" Filmdramaturgie, was die pure visuelle Schönheit aber jederzeit ausgleicht.
N.N.